Cela faisait longtemps que Prométhee n'avez pas revu les murs de l'ambassade de la Fortuna. Quelques changements étaient à noter dans le décors, mais rien qui ne ternisse la détermination du seigneur. En ce jour, il fallait mettre certaines chose au clair, pour sa guilde, et pour lui même.
Attirant le plus de personne possible, Prométhee attendit qu'un certain nombres de personnes s'attarde sur sa personne pour commencer son discours.
Membres de la Fortuna, et vous tous, qui voudrez bien entendre mes propos.
Il y a de cela peu de temps, de troupes portant fièrement votre blason franchissaient encore mes frontières. Ne pouvant opérer de ripostes sur le moment, il fallait donc que je me replis, moin de vos royaumes.
La distraction pensais-je au début, puis pourquoi pas la crainte! Le meilleur moyen de le savoir fut encore de demander aux personnes concernées. Ce que je fis, par missive au sieur Hadrimor, qui eut la gentillesse de me donner des réponses claires.
Là s'arrête mon discour sur ma petite personne, qui ne mérite au fond pas tant d'attention. Venons en donc à ma guilde, les Infinitum Spiritas.
Prométhee s'arrêta un instant pour s'assurer d'avoir l'attention de tout le monde présent. Puis il repris d'une voix claire :
Entendez bien, vous tous, c'est en diplomate de l'Infinitum Spiritas que je vous livre ces propos, que vous pouvez donc considérés comme officiels : l'Infinitum Spiritas n'est en aucun cas allié à la Légion. Ceux qui racontent ce genre d'idioties ne sont que de piètres auditeurs, se basant seulement sur de simples négociations, qui en aucun cas ne sont allés jusqu'au bout. Si la légion se vante de nous avoir comme allié, qu'elle sache qu'elle en à perdu un à tous jamais, moi-même, et si elle croie que les Infinitum Spiritas sont ses alliés, qu'elle arrête de croire, car visiblement elle n'est pas faite pour cela, ou le fait très mal.
Il semble en effet que la légion nous ai contacté, mais en aucun cas elle n'a eu notre accord, et en aucun cas elle n'aura, dorénavant le mien.
Membres de la Fortuna, nous ne souhaitons pas nous battre contre vous, nous souhaitons nous construire dans la sérénité, ne pas détruite précocemment notre blason. J'espère donc que la situation est claire à vos yeux, sinon je peux encore la clarifié.
Prométhee avait accompli le devoir que le Grand Tagazok lui avait confié, mais il saisit l'occasion pour faire une requête auprès de la Fortuna. Il continua d'une voix plus calme :
Seigneurs et dames de la Fortuna, je voudrez encore m'addresser à vous dans une ultime requête. Je comprend entièrement que vous désiriez assurer vos positions, et que ceci passe par une selection de votre entourage. Cependant, je souhaiterai aussi pouvoir hisser mon royaume à une hauteur respectable, pour moi et surtout pour ma guilde. Mais ceci passe par un accord de votre part.
Si vous avez des craintes, je les comprend, mais j'ai quelques éléments qui pourrait peut être vous éclairer quand à ma position par rapport à vos armées.
Il y a de cela quelques temps, les armées de la dame Gwen étaient à ma porté. Sont royaume bien plus petit que le mien, et je l'ai laissé, sans jamais violer ses frontières.
Quelques temps après, le royaume de sieur Benou se trouvait dans une position similaire. Aucun de mes hommes, mêmes pas une sentinelle, ne c'est approché de ses frontières. Quelques jours après, je me suis fait poignarder dans le dos par se même seigneur, ezn remerciement sans aucun doute. Me trouvant quelques temps plus tard à porté du sieur Benou, mais bien plus faible que lui, celui-ci n'a pas hésité longtemps avant de me lancer quelques assauts qui me valurent mon armée et quelques de mes batisses. Combien de riposte a-t-il reçu ? Demandez lui, il n'aura sans doute aucun mal à les compter!
Et en cette soirée, sans doute l'élément déclencheur, ce furent les armées jointes du sieur Hadrimor et Demitrius qui se sont présentées à mes portes, écrasant mes sentinelles et quelques batiments frontaliés. Avez vous vu des ripostes ?
Tous ces élements me semble montrer qu'aucune intention bélliqueuse ne siègent en mon esprit. J'en donne ma parole, je met en jeu mon honneur, et sachez que ces deux chosent sont pour moi parmis les plus importantes dans les bagages d'un seigneur. Je ne vous empêcherai sans doute pas de douter, si telle est votre volonté, mais permettez moi d'espérer que je puisse avoir une chance de vous montrer mon sens de l'honneur, sans pour cela laisser mon royaume à la merci des vermines menant quelques croisades succincte, puis fuyant vers le fin fond de nos contrées avant que nous ayons pu organiser une riposte.
Prométhee avait enfin fini son discour, ayant dis tout ce qu'il avait à dire. Il espérait beaucoup que sa requête personnelle serait étudié avec serieux, mais souhaitait avant tout que les malentendus entre sa guilde et la Fortuna soient levés, même si pour cela il devait en payer de son royaume.